Entretien avec Didier Tabuteau, chaire santé à sciences po« Un Ondam à 2 % c’est très rigoureux »
Didier Tabuteau. Il n’y a aucune recette miracle. De toute manière, il faut distinguer deux types de déficits : le déficit structurel, celui qui s’accumule chaque année, parce qu’il n’y a pas assez de financement, et le déficit conjoncturel lié aux conséquences de la crise. Sur le conjoncturel, il doit être remboursé progressivement puisqu’il y a eu un...
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