Les associations de patients doivent-elles siéger dans tous les lieux de pouvoir ?
Faut-il opposer le « secret-défense » aux associations de patients afin de leur interdire l’accès au CEPS par exemple ? Comment assurer leur financement alors qu’elles sont élevées au rang de troisième pilier de la démocratie sanitaire ? Des solutions sont proposées par le monde associatif.
Doit-il y avoir des limites à la transparence ? Ou à la participation pleine et entière des patients à toutes les instances définissant la politique de santé ? L’audition de Dominique Giorgi, à la tête du Comité économique des produits de santé (CEPS) à l’Assemblée nationale le 3 décembre dernier a déclenché une vive polémique. Devant la représentation nationale, le président du CEPS a récusé le principe pourtant affirmé dans la loi du 2...
La suite est réservé aux abonnés
Connectez-vous
Activez votre compte abonné
pour bénéficier des exclusivités web incluses dans votre abonnement.
Abonnez vous pour 1€
Abonnez-vous et bénéficiez de l’offre liberté : 1 an au journal Décision Santé
- un accès illimité à l’actualité en continu sur le site ;
- le journal en version numérique ;
- les newsletters et les alertes personnalisées ;
- la possibilité de commenter les articles de la rédaction, échanger entre confrères, participer aux débats...
- lignes d’annonces gratuites (selon abonnement)
Vous devez être inscrit ou avoir activé votre compte abonné.