Rodin, David, artistes rebelles ou officiels ?
Certes, Rodin a déshabillé la sculpture, a mis le « métier à nu », selon le mot de Judith Clavel, l’auteur d’un des premiers livres publié en 1903. Pour autant, sculpteur célébré par les écrivains, puis artiste officiel de la troisième République, il n’a rien de l’artiste maudit. L’œuvre jusqu’à la fin demeure ouverte, sensible aux révolutions en cours. Elle n’est jamais finie, polie. Ce qui troublera ses contemporains. En 1910, Rodin...
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