TélécardiologieUne technologie mature, mais un financement insuffisant et non pérenne
La télécardiologie a su gagner ses galons. Elle est à la fois efficace et génératrice d’économies. Mais le financement de l’acte se fait toujours attendre. Débat*.
« Le premier financement de la télécardiologie reste le bénévolat. » Le Dr Arnaud Lazarus, rythmologue interventionnel, ne se veut même pas cynique. Il exprime la réalité vécue par les professionnels de santé qui réalisent des actes de télémédecine au quotidien auprès de leurs patients.
Et pourtant, le bilan du suivi en télécardiologie est largement positif. C’est ce qu’explique Daniel Jouen, président de l’Apodec ...
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