Attentats à Bruxelles, les médecins étaient-ils prêts à une médecine de guerre ?
Membres arrachés, traumatismes cérébraux, peau carbonisée... suite aux attentats de Bruxelles, les médecins ont témoigné de véritables blessures observées d’habitude dans les zones de guerre.
Le Pr Creteur (Hôpital Erasme) l’a expliqué : « Certains malades sont arrivés avec des trous, des débris de ferraille dans les membres et dans le thorax. Sur beaucoup de patients, nous avons fait du damage control, soit la première intervention faite pour arrêter l’hémorragie. Et si un membre est complètement explosé, on l’aligne, pas plus. » L’urgence est d’abord de stabiliser l’état du patient et retourner plus tard en salle d’opération,...
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