Le portrait de Dorian Gray
On n’a jamais fait du bon théâtre avec des bons sentiments. Cette nouvelle version scénique du Portrait de Dorian Gray en administre une nouvelle preuve s’il en était besoin. Difficile en effet pour le spectateur de résister à cet éloge en diable de la perversité et de l’outrage aux bonnes mœurs sous couvert du beau langage. Dans cette histoire à trois qui s’inscrit dans le sillage du Satyricon, l’initiation au mal d’un jeune éphèbe par un...
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