Publié en mars dernier, Frédéric Bizard, pourfendeur des mutuelles, n'appelle pas dans son dernier livre à la suppression des assurances complémentaires. La faisabilité politique d'une telle mesure lui paraît impossible. Le poids économique (35 milliards d'euros), la destruction d'emplois, la hausse des dépenses publiques et l'histoire (deux cents ans d'implication en santé) interdisent une nationalisation de fait. Dans le dispositif...
Pour lire la suite, inscrivez-vous gratuitement
Inscrivez-vous et profitez pleinement des avantages offerts :
- l’actualité réservée aux professionnels de santé ;
- les newsletters pour rester informéde l’actualité ;
- la possibilité de commenter les articles de la rédaction, échanger entre confrères, participer aux débats...
- la possibilité de créer vos alertes personnalisées
Connectez-vous
Soutenez la presse qui vous soutient
pour bénéficier des exclusivités web incluses dans votre abonnement.
Vous devez être inscrit ou avoir activé votre compte abonné.