Katell Quillévéré, la jeune réalisatrice de Réparer les vivants, regarde trop la télé. Son film soutenu par l’Agence de la biomédecine, est certes un vibrant plaidoyer en faveur de la transplantation. Mais Il respecte à la virgule près son cahier des charges, prêt à être diffusé (consommé ?) ensuite sur une grande chaîne hertzienne. A savoir, donner avant le drame au spectateur de belles images de glisse, faire vivre la réalité du don...
Pour lire la suite, inscrivez-vous gratuitement
Inscrivez-vous et profitez pleinement des avantages offerts :
- l’actualité réservée aux professionnels de santé ;
- les newsletters pour rester informéde l’actualité ;
- la possibilité de commenter les articles de la rédaction, échanger entre confrères, participer aux débats...
- la possibilité de créer vos alertes personnalisées
Connectez-vous
Soutenez la presse qui vous soutient
pour bénéficier des exclusivités web incluses dans votre abonnement.
Vous devez être inscrit ou avoir activé votre compte abonné.