Urgence : comment peut-on bénéficier de traitements innovants, de thérapies ciblées, d’essais cliniques prometteurs, administrés per os sans une prise en charge globale et sécurisée du retour à domicile des personnes concernées ? On se gargarise du principe de précaution mais dans ce secteur, c’est « ignorance, silence et bouche cousue » ! Au début de ses traitements, le malade est hospitalisé quelques jours. Il est surveillé et accompagné. Lorsqu’il rentre chez lui, c’est le « système D ». Mesure-t-on bien les risques qu’il encourt ?
Sécuriser
Publié le 15/10/2012
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