En ce temps-là, la médecine était une passion française. Son exercice relevait du sacerdoce. Et exigeait tous les sacrifices, y compris pour ses grands maîtres de céder leur fille au meilleur interne de la génération suivante. Pratiqué comme un des beaux-arts, le diagnostic à mains nues se donnait en spectacle. Et en absence de sciences, ces mandarins étaient encore nourris au lait des humanités. C’est cette histoire ancienne que nous...
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