La nomination de Dominique Le Guludec à la tête de la Haute Autorité de santé (HAS) a été vécue comme une espèce d’effraction par les membres du club. Lorsque l’on brigue le poste le plus en vue de la République hippocratique, l’impétrant doit avoir en première instance été adoubé par le microcosme politico-médiatique. Agnès Buzyn que l’on n’attendait pas davantage avenue-Duquesne avait pourtant rappelé les règles simples de ce petit jeu...
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