La mort n'intéresse pas la science. Drôle de constat macabre. Elle est occultée, souvent invisible en société. C'est aussi une problématique de recherche désertée en France, à l'exception de Stéphane Charpier et son équipe à l'Institut du cerveau (Paris). Pourquoi alors s'y consacrer à plein temps, dans un face-à-face, une partie d'échecs perdue d'avance ? On est, paraît-il, un bon médecin seulement lorsque la maladie vous contraint à...
Pour lire la suite, inscrivez-vous gratuitement
Inscrivez-vous et profitez pleinement des avantages offerts :
- l’actualité réservée aux professionnels de santé ;
- les newsletters pour rester informéde l’actualité ;
- la possibilité de commenter les articles de la rédaction, échanger entre confrères, participer aux débats...
- la possibilité de créer vos alertes personnalisées
Connectez-vous
Soutenez la presse qui vous soutient
pour bénéficier des exclusivités web incluses dans votre abonnement.
Vous devez être inscrit ou avoir activé votre compte abonné.