La nouvelle classe d’hypolipémiants, les anti-PCSK9, au-delà de son intérêt théorique a-t-elle un impact sur la réduction des infarctus du myocarde par exemple ? La réponse est positive après la publication dans The New England Journal of medicine et la présentation de l’étude au dernier American College of Cardiology. L’étude est robuste. Elle a enrôlé 27 764 patients répartis dans 49 pays et 1 242 sites dans un protocole réalisé...
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