C’est l’un des chefs d’œuvre du répertoire, une pièce-monde qui traque les mystères du pouvoir, de la filiation, de la transmission, de la folie. Et Thomas Ostermeier qui rêve depuis l’adolescence de monter Le Roi Lear, le transforme en une scène familiale déchirée par les rivalités, l’ambition. Tendance lourde du théâtre européen, le tragique, l’insaisissable, la métaphysique sont évacués au profit d’un politiquement correct désormais adopté par le transgressif metteur en scène allemand, à l’origine pourtant de très grands spectacles.
Un roi Lear politiquement correct !
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Denis Podalydès
Crédit photo : ©Christophe Raynaud de Lage, coll. Comédie-Française
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