Comment caractériseriez-vous le marché des biosimilaires ?
Il me semble que nous en sommes à son balbutiement. Dans une certaine mesure, la situation me rappelle celle que j’ai connue en 1996 avec les médicaments génériques avant que ce métier ne prenne son essor en 1999 avec le droit de substitution. En d’autres termes, nous assistons à la naissance d’un nouveau métier, celui de la promotion de l’utilisation des biosimilaires. Et cette période que nous vivons est riche en opportunités.