« Nous sommes face à une augmentation de risques de rupture ou de tension, soit 3 500 signalements sur l'année 2022. Cela ne veut pas dire pour autant que nous avons le même nombre de médicaments en rupture ou en tension. L'encadrement réglementaire oblige les industriels à déclarer des risques potentiels pour nous donner le temps nécessaire pour mettre en place des mesures de réduction des risques et tenter de limiter au maximum les impacts délétères, telles des désorganisations des soins, des pertes de chance.
« La France est plus sensible aux tensions sur les médicaments que le reste de l'Europe »
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Christelle Ratignier-Carbonneil, patronne de l'Agence nationale pour la sécurité des médicaments, a été auditionnée le 14 février par la commission des affaires sociales du Sénat. Verbatim.

Audition plénière de Christelle Ratignier-Carbonneil, directrice générale de l'ANSM
Crédit photo : capture écran Sénat
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