D. S. Quelles mesures demandez-vous pour favoriser l’attractivité ?
R. B. Il faut adresser des messages forts aux jeunes générations et ne pas opter pour des demi-mesures de type primes réservées aux praticiens exerçants dans des zones sous tension ou dans des spécialités à risque. Nous proposons la suppression des quatre premiers échelons qui signifie une revalorisation significative pour les jeunes médecins.