Le gynéco-bashing n’est plus un phénomène minoritaire. Dans le rapport 2022 (1) rédigé entre autres par la Commission démographique de CNGOF, le concept est repris comme un des facteurs expliquant le nombre important de burn-out recensé dans la profession. Il « a été extrêmement important et a beaucoup ébranlé la spécialité ». On est loin de l’acmé de popularité qu’ont connu les gynécologues-obstétriciens au moment de la naissance d’Amandine en février 1982, le premier bébé-éprouvette français.
Gynéco-obstétrique, le paradoxe démographique
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Publié le 03/03/2023
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