Brève

L’auto-prélèvement vaginal

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Publié le 26/01/2017
Alors que les femmes renâclent à bénéficier d’un frottis cervico-vaginal dans le cadre du dépistage d’un cancer du col utérin, une alternative, l’auto-prélèvement, vient de faire l’objet d’une évaluation. Présentation et mode d’emploi. 
visuel uterus

visuel uterus
Crédit photo : VOISIN/PHANIE

Comment réduire la mortalité liée au cancer de l’utérus ? En France, en 2012 on a recensé 3 028 nouveaux cas. Le nombre de décès était estimé à 1 102. Le dépistage par frottis cervico-utérine devrait permettre de réduire ces chiffres. Or, la participation demeure insuffisante. Elle peut s’expliquer par l’absence de programme national de dépistage. Une autre explication serait la réticence des femmes à subir l’examen. L’auto-prélèvement vaginal apparaît dans ce contexte comme une alternative prometteuse. Une expérience a été menée en mars 2012 en Indre-et-Loire.

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