Aucun pays au monde n’a voté une loi comparable à celle du 4 mars 2002. Elle répond à la survenue de deux crises majeures, le Sida et le sang contaminé, et plus tard celle des infections nosocomiales. La France, après ces évènements, les protestations sociales et la tenue des États généraux décide de faire une loi. Outre les droits, elle installe un mécanisme de représentation des usagers dans les instances hospitalières et de santé publique. Alors qu’elle permet aux usagers de siéger, elle restreint ce droit aux associations agréées.
Entretien avec Christian Saout
Pour favoriser la participation il faut dire la messe tous les jours
Par
Publié le 09/07/2021
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Le point de vue de Christian Saout sur la démocratie sanitaire. Il est président de la commission en charge du social et du médico-social à la Haute Autorité de santé (HAS).
La suite de l’article est réservée aux inscrits.
L’inscription est GRATUITE. Elle vous permet :
- d’accéder aux actualités réservées aux professionnels de santé,
- de recevoir les informations du jour directement dans votre boîte mail,
- de commenter les articles de la rédaction, de participer aux débats et d’échanger avec vos confrères.
Votre inscription NOUS permet de contrôler le contenu auquel nous avons le droit de vous donner accès en fonction de votre profession (directives de l’ANSM).
Inscrivez-vous GRATUITEMENT pour lire la suite de l’article.
Je m'inscrisDéjà inscrit ?
Soutenez la presse qui vous soutient
Abonnez-vous pour bénéficier de l’accès en illimité à tous les articles.