Étude

Seuls 50 % des internes formés à la gynécologie-obstétrique souhaitent poursuivre une activité de garde

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Publié le 24/11/2022

Crédit photo : BURGER/PHANIE

Le paysage de la gynécologie-obstétrique se trouve dans un paradoxe : alors que le nombre d'internes a fortement augmenté dans cette spécialité depuis les années 2000, le nombre d'internes reste encore largement insuffisant, selon une étude réalisée par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) publiée le 18 novembre dernier. En cause, les jeunes praticiens ne souhaitent plus travailler comme leurs aînés.

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