« L'insuline, c'était pour pousser le ministère à faire quelque chose, mais il n'a rien fait. »
Pierre Schwob, infirmer à l'hôpital Beaujon à Clichy, un des manifestants du mouvement du 2 juillet dernier devant le ministère de la Santé, où une dizaine de soignants se sont injectés de l'insuline afin de contraindre le Gouvernement à satisfaire leurs revendications : des hausses de salaires de 300 euros net par mois et des effectifs supplémentaires.