L'incapacité à rendre compte de ce que l'on voit, l'échec de la parole ou du mot face à l'image, contrairement à ce qu'écrit Alexis Merle du Bourg dans sa très belle monographie consacrée à Chardin ne serait donc pas une fatalité. Le verbe, riche, élégant, somptueux allié à un regard panoramique qui balaie depuis le Siècle d'Or hollandais au XVIIe siècle jusqu'à Matisse et Malraux sonde une œuvre célébrée de magique en son temps mais qui résiste à toute tentative critique réductionniste. Ainsi, Chardin, le maître des natures mortes, serait un précurseur de l'abstraction.
Brève
Chardin, voire autrement
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Publié le 01/12/2020
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