Vous n’avez pas attendu la Covid-19 pour travailler sur le risque pandémique. Au début des années 2000, c’était un pari audacieux.
Au sein de l’univers des sciences sociales, on considérait en effet souvent le risque pandémique comme une fausse alerte.
Quel est votre regard sur la gestion française de cette pandémie alors que votre ouvrage ouvre une large réflexion sur le concept de préparation ?