La jeunesse française, en un seul vendredi noir, a (re)découvert le tragique de l’histoire. Visée, touchée au cœur, elle s’est relevée le jour d’après, pour les survivants, grandie, devenue adulte. Se regardant d’avant -garde, geek, ouverte sur le monde, elle s’est métamorphosée en arrière-garde, image revendiquée par Charles Péguy dans Notre jeunesse qui vient de faire l’objet d’une réédition*. Le grand polémiste se voyait en 1910 en dernier spécimen d’une génération défendant la République incarnée comme une mystique.
Attentats
La bête immonde, toujours féconde
Publié le 19/11/2015
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Crédit photo : GARO/PHANIE
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